Histoire de Princesse

La Réécriture des Contes de Fées : l'héritage féminin des conteuses oubliées

Les contes de fées, trésors inestimables de la littérature, ont souvent été attribués à des conteurs masculins tels que les frères Grimm et Charles Perrault.

Cependant, un regard plus attentif sur l'histoire des contes de fées révèle un riche héritage féminin souvent négligé.

Des femmes éminentes comme Madame de Villeneuve, Mademoiselle L'Héritier, Madame de Sévigné et la Comtesse de Ségur ont contribué de manière significative à cet univers féerique.

Madame de Villeneuve :

Elle est surtout connue pour son œuvre magistrale "La Belle et la Bête", qui a inspiré de nombreuses adaptations ultérieures. Sa plume a donné vie à des contes empreints de sensualité et de complexité psychologique.

Mademoiselle L'Héritier :

Son conte "Le Petit Chaperon Rouge" préfigure le célèbre conte de Perrault. Elle a également exploré des thèmes féministes avant l'heure, offrant des perspectives nouvelles sur la condition des femmes à travers ses histoires.

Madame d'Aulnoy : l'Artiste Méconnue derrière les Contes Féeriques

Au cœur de l'âge d'or des contes de fées français, une femme exceptionnelle a laissé une empreinte indélébile sur ce genre littéraire souvent associé aux noms des frères Grimm et de Charles Perrault.

Madame d'Aulnoy, de son vrai nom Marie-Catherine Le Jumel de Barneville, a émergé comme une conteuse émérite au 17e siècle, contribuant de manière significative à l'héritage des contes de fées.

Madame d'Aulnoy est souvent considérée comme la première femme à utiliser le terme "conte de fées".

Ses récits, caractérisés par une prose élégante et imaginative, sont teintés de merveilleux, de magie et d'allégories symboliques.

Parmi ses œuvres les plus connues figurent "La Belle aux cheveux d'or", "Le Serpentin vert" et "La Chatte blanche".

Chacun de ces contes transporte les lecteurs dans des mondes enchantés, peuplés de héros et de héroïnes confrontés à des épreuves extraordinaires.

Madame d'Aulnoy a également introduit des éléments fantastiques dans ses histoires, comme des animaux parlants, des transformations magiques et des voyages épiques. Son écriture raffinée et son imagination débordante ont ouvert de nouvelles voies pour le genre des contes de fées

Mademoiselle Bernard

Mademoiselle Bernard, également connue sous le nom de Marie-Catherine d'Aulnoy, était une conteuse et écrivaine française du 17e siècle, appartenant au courant des contes de fées. Elle était contemporaine de Madame d'Aulnoy (Marie-Catherine Le Jumel de Barneville, baronne d'Aulnoy) et a contribué significativement au genre des contes merveilleux de l'époque.

Mademoiselle Bernard a été une figure importante dans le cercle des conteurs de contes de fées en France. Elle a écrit plusieurs contes, parmi lesquels "L'Oiseau bleu", une histoire qui a ensuite été adaptée par d'autres auteurs.

Ses contes étaient souvent caractérisés par des éléments fantastiques, des princesses, des châteaux enchantés et des leçons morales.

Madame de Murat (Henriette-Julie de Castelnau, comtesse de Murat) :

Elle était également une écrivaine française du 17e siècle, célèbre pour ses romans et contes, les "Contes de fée" et les Nouveaux contes de fée". Ses œuvres incluent "Histoire de Jean de Bourbon" et "La Chevalière d'Ormond".

Mademoiselle de la Force (Charlotte-Rose de Caumont La Force) :

Elle était une autre écrivaine française du 17e siècle, reconnue pour ses contes et nouvelles. Son œuvre la plus célèbre est probablement "Persinette", qui a inspiré le conte populaire de "Raiponce".

Madame de Sévigné (1626-1696) :

  1.   Bien que principalement connue pour ses lettres, Madame de Sévigné a également contribué au genre des contes de fées.

  2. Elle a écrit un conte intitulé "Les Fées", qui reflète l'intérêt de l'époque pour les éléments merveilleux et fantastiques.

  3. Plus connue pour sa correspondance, elle a également tissé des contes qui révèlent sa sensibilité artistique. Ses récits captivent par la finesse de leur écriture et la profondeur de leurs significations.

La Comtesse de Ségur :

Bien qu'elle soit souvent associée à la littérature pour enfants, la Comtesse de Ségur, de son vrai nom Sophie Rostopchine, est une écrivaine française d'origine russe du XIXe siècle. Elle est surtout connue pour ses œuvres littéraires destinées à la jeunesse a créé des contes d'une grande qualité littéraire. Ses histoires ont laissé une empreinte indélébile dans l'imaginaire collectif.

  1. "Les Malheurs de Sophie" (1858) : ce roman raconte les aventures de Sophie, une petite fille espiègle, et ses bêtises qui finissent souvent mal.

  2. "Les Petites Filles modèles" (1858) : il s'agit d'une suite des "Malheurs de Sophie", mettant en scène de nouvelles aventures de jeunes filles exemplaires.

  3. "Les Vacances" (1859) : un autre volet des aventures de Sophie, cette fois pendant ses vacances.

  4. "Un bon petit diable" (1865) : l'histoire d'un jeune garçon, Charles, qui est en réalité un bon petit diable, mais qui se réforme au fil de l'histoire.

  5. "Les Mémoires d'un âne" (1860) : une histoire racontée du point de vue d'un âne qui relate ses expériences dans la société humaine.

Réécrire les contes de fées implique de redonner leur place légitime à ces voix féminines souvent reléguées à l'ombre des conteurs masculins. Les thèmes de l'amour, de la persévérance et de l'émancipation des femmes résonnent puissamment dans leurs récits, offrant une perspective unique sur les réalités et les aspirations des femmes à différentes époques.

La richesse de l'héritage féminin des conteuses ne peut être ignorée. C'est à travers leurs plumes inspirées que les contes de fées ont atteint des hauteurs littéraires, artistiques et philosophiques, évoquant des images intemporelles qui continuent de captiver et de résonner dans nos cœurs.

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 L'histoire des contes de fée

L'histoire des contes de fées est riche et complexe, remontant à des époques anciennes et traversant diverses cultures à travers le monde. Voici une vue d'ensemble de l'évolution de l'histoire des contes de fées :

  1. Origines anciennes : les premiers contes de fées ont émergé à partir des traditions orales des sociétés anciennes. Ces récits, souvent fantastiques et empreints de magie, étaient transmis de génération en génération. Les premières versions écrites de certains contes, tels que "Cendrillon" et "La Belle au bois dormant", peuvent être retracées jusqu'à des siècles avant notre ère.

  2. L'ère médiévale : pendant le Moyen Âge, de nombreux contes de fées ont été recueillis et transcrits par des conteurs et des écrivains. Cependant, ces histoires étaient souvent destinées à un public adulte et pouvaient contenir des éléments plus sombres et moins édulcorés que les versions modernes.

  3. Charles Perrault (1628-1703) : au XVIIe siècle, Charles Perrault, un écrivain français, a joué un rôle clé dans la popularisation des contes de fées. Il a publié "Histoires ou contes de temps passé, avec des moralités", qui comprenait des contes célèbres comme "Cendrillon", "Le Petit Chaperon Rouge" et "La Belle au bois dormant". Il a publié ses contes sous le titre "Histoires ou contes de temps passé, avec des moralités", en 1697. Perrault a adapté des contes traditionnels populaires en les stylisant pour la cour et en y ajoutant des morales.

    Perrault a ajouté des éléments moraux à ses histoires, influençant ainsi la perception ultérieure des contes de fées.

  4. Les frères Grimmau XIXe siècle, les frères Jacob et Wilhelm Grimm, collectionneurs allemands de contes populaires, ont publié leur célèbre recueil "Grimm's Fairy Tales". Leur approche était plus axée sur la préservation des traditions orales que sur la moralité. Les contes des frères Grimm, tels que "Blanche-Neige" et "Hansel et Gretel", sont devenus des classiques.

  5. Adaptations et réinterprétations : les contes de fées ont continué à évoluer au fil des siècles, adaptés par des écrivains, des cinéastes et d'autres artistes pour répondre aux sensibilités culturelles changeantes. Des versions modernes, souvent revisitées et réinterprétées, ont émergé, parfois avec des twists inattendus ou des perspectives différentes sur les personnages.

  6. Influence sur la culture populaire : les contes de fées ont eu une influence durable sur la culture populaire. Ils ont inspiré d'innombrables adaptations littéraires, théâtrales, cinématographiques et artistiques, devenant ainsi une partie intégrante de l'imaginaire collectif.Disney devient le principal véhicule des contes de fées aujourd'hui...

La résurgence des contes de fées au XVIIe siècle est souvent associée à l'influence de plusieurs écrivains et conteurs de cette période, notamment Charles Perrault et Madame d'Aulnoy. Ces conteurs ont contribué à populariser les contes de fées en les adaptant pour un public plus large, y compris les adultes. Voici quelques points clés sur la résurgence des contes de fées au XVIIe siècle :

Réception à la cour : les contes de fées étaient populaires à la cour de Louis XIV, où ils étaient lus et racontés lors de divertissements. La cour était un lieu où l'on appréciait l'élégance, la grâce et le fantastique, des éléments que l'on retrouvait dans les contes de fées.

L'influence de ces écrivains a contribué à la résurgence des contes de fées au XVIIe siècle, jetant les bases pour le développement ultérieur du genre au XVIIIe siècle avec des conteurs tels que les frères Grimm.

La place des contes orientaux

Les contes orientaux ont également joué un rôle significatif dans la résurgence des contes au XVIIe siècle. Les traductions des Mille et Une Nuits et d'autres récits orientaux ont captivé l'imagination européenne et ont contribué à enrichir le répertoire des contes de fées. Voici quelques points importants concernant les contes orientaux à cette époque :

  1. Les Mille et Une Nuits (Arabian Nights) : les contes des Mille et Une Nuits, une collection de récits orientaux, ont été traduits en français par Antoine Galland au début du XVIIIe siècle. Cependant, les contes étaient déjà connus en Europe avant cette traduction, grâce aux échanges culturels et aux récits de voyageurs.

  2. Influence sur les écrivains français : les contes orientaux ont inspiré des écrivains français, notamment ceux du XVIIe siècle. L'intrigue exotique, les personnages fantastiques et les éléments magiques ont été intégrés dans le contexte culturel européen par des auteurs tels que Charles Perrault et Madame d'Aulnoy.

  3. Élargissement du répertoire des contes : les contes orientaux ont élargi le répertoire des contes de fées en introduisant des thèmes, des personnages et des décors différents. Ils ont contribué à diversifier les sources d'inspiration des conteurs européens, ajoutant une dimension culturelle nouvelle et fascinante.

  4. Imagerie exotique : les récits orientaux ont apporté une imagerie exotique, des palais somptueux, des tapis volants, des génies et des aventures mystérieuses. Cette richesse imaginative a captivé le public européen et a influencé la manière dont les écrivains conceptualisaient et stylisaient leurs propres contes.

En résumé, les contes orientaux ont constitué une source majeure d'inspiration pour les écrivains européens du XVIIe siècle, participant ainsi à la fascination collective pour le genre des contes de fées. La rencontre entre les traditions narratives européennes et orientales a contribué à créer un univers fantastique riche et varié.

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La Belle au Bois Dormant n'est pas une femme passive ou violée

La version la plus célèbre du conte de La Belle au bois dormant est celle de Charles Perrault, intitulée "La Belle au bois dormant".

Dans cette version, la Belle au bois dormant n'est pas violée ni passive, mais elle est victime d'un sort jeté par une fée maléfique qui la condamne à s'endormir pendant cent ans après s'être piqué le doigt sur un fuseau.

Le réveil de la Belle au bois dormant est déclenché par le baiser d'un prince charmant.

Quel est le sens de la Belle au bois dormant?

L'histoire est un conte de fées et est souvent interprétée comme une métaphore ou une allégorie, plutôt que comme une représentation réaliste. Dans certaines interprétations, le baiser du prince symbolise l'amour véritable et sincère, ce qui éveille la Belle du sommeil enchanté.

Les versions du conte peuvent varier en fonction des adaptations et des cultures, mais dans l'histoire classique de Perrault, la Belle au bois dormant est davantage une héroïne qui endure un sortilège plutôt qu'une victime passive.

Les interprétations modernes de ce conte de fées mettent parfois l'accent sur l'autonomie de la Belle et son rôle actif dans la transformation de son destin.

Barbe Bleue réhabilite la jeune femme curieuse face au monstre assassin

L'histoire de Barbe Bleue, telle que racontée par Charles Perrault, met en scène un personnage féminin qui est souvent critiqué pour sa curiosité et son désobéissance.

Barbe Bleue (ou Henri VIII) est un noble aux intentions mystérieuses, et il donne à sa jeune épouse les clés de toutes les pièces de son château, à l'exception d'une seule. Malgré l'interdiction, la femme cède à la tentation de savoir ce qui se cache derrière la porte interdite.

Cette curiosité conduit à la découverte de la terrible réalité : Barbe Bleue a tué ses précédentes épouses et stocké leurs corps dans cette pièce interdite.

Cependant, le conte de Perrault n'a pas une fin tragique pour la femme curieuse. Elle est finalement sauvée par ses frères, et Barbe Bleue est puni pour ses crimes.

L'histoire peut être interprétée de différentes manières. Certains critiques soulignent le caractère oppressif du mariage et comment la curiosité de la femme est finalement justifiée en exposant les actions maléfiques de Barbe Bleue.

Ainsi, plutôt que de blâmer la femme pour sa curiosité, certains lecteurs la voient comme une héroïne qui révèle la vérité et échappe à un destin funeste, un nouveau féminicide.

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Le Petit Chaperon Rouge les 3 états de la Femme est aussi un conte féministe

L e Petit Chaperon Rouge" est souvent interprété de différentes manières, et certaines analyses peuvent mettre en évidence des aspects féministes dans le conte.

Le récit met en scène une jeune fille, le Petit Chaperon Rouge, qui est envoyée par sa mère pour apporter des friandises à sa grand-mère malade.

En chemin, elle rencontre le loup, qui représente souvent le danger ou la menace.

Certains critiques féministes voient le conte comme une allégorie des dangers que les femmes peuvent rencontrer dans la société.

Le loup peut symboliser diverses menaces, y compris la sexualité masculine prédatrice ou les dangers généraux auxquels les femmes sont confrontées.

Dans cette perspective, le conte peut être interprété comme une mise en garde contre la naïveté des jeunes filles et comme un appel à la prudence face aux hommes inconnus.

Mais la fille part seule et combat le loup dans le conte d'origine!

La Belle et la Bête 

La version de "La Belle et la Bête" de Madame de Villeneuve, par rapport aux versions ultérieures de Charles Perrault et des frères Grimm, met davantage l'accent sur la valorisation de la femme et explore des thèmes plus complexes.

  1. Longueur et détails narratifs : la version de Madame de Villeneuve, publiée en 1740, est plus longue et détaillée que celle de Perrault. Elle inclut des éléments supplémentaires, tels que l'histoire antérieure des personnages et des sous-intrigues, qui enrichissent la narration et offrent une vision plus nuancée.

  2. Indépendance de la protagoniste : dans la version de Villeneuve, Belle est souvent présentée comme une femme intelligente, curieuse et indépendante. Elle fait preuve de courage et d'intelligence, montrant une détermination à comprendre et à accepter la Bête au-delà de son apparence extérieure.

  3. Thèmes de la vertu et de la patience : contrairement à Perrault, qui souligne souvent la vertu des héroïnes, Villeneuve explore également le thème de la patience. Belle est confrontée à des défis et à des épreuves qui mettent à l'épreuve sa patience et sa résilience, renforçant ainsi son caractère.

  4. Complexité morale : les personnages de la version de Villeneuve sont souvent plus nuancés sur le plan moral. La Bête est présentée comme un personnage plus complexe, et l'histoire explore la transformation intérieure des personnages en plus de leur apparence extérieure.

  5. Symbolisme et métaphores : la version de Villeneuve utilise des éléments symboliques et métaphoriques plus profonds, ajoutant des couches de signification à l'histoire. Par exemple, la Bête peut être interprétée comme une métaphore des aspects intérieurs de l'être humain plutôt que simplement comme un monstre extérieur.

  6. L'élément du baiser dans le conte "La Belle et la Bête" est souvent associé à une condition imposée à la Belle pour rompre le sort ou la malédiction qui a transformé la Bête en une créature monstrueuse. Cependant, les détails spécifiques varient selon les versions du conte.

    Dans certaines versions, la Belle doit accepter ou embrasser la Bête par amour véritable malgré son apparence extérieure hideuse. Le geste d'amour désintéressé devient alors la clé de la transformation de la Bête en son véritable moi, souvent un prince ou une figure humaine.

    Cependant, dans d'autres versions, la condition peut différer. Il peut s'agir simplement d'un acte de gentillesse, de compréhension ou de choix conscient de la part de la Belle. L'essence de l'histoire réside souvent dans la capacité de la Belle à voir au-delà des apparences et à reconnaître la bonté intérieure de la Bête.

    Si la Bête souhaite que la Belle le choisisse mais ne l'embrasse pas, cela pourrait être une variation du thème classique où le choix de la Belle est au cœur de la transformation de la Bête. Cela souligne l'importance de l'amour véritable et du discernement de la Belle, allant au-delà des gestes symboliques traditionnels pour mettre en lumière des qualités plus profondes et essentielle

En résumé, la version de Madame de Villeneuve de "La Belle et la Bête" se distingue par sa richesse narrative, son exploration approfondie des personnages et ses thèmes plus complexes, mettant en avant une vision plus émancipée et valorisante de la femme. Ces éléments ont contribué à établir cette version comme une œuvre littéraire majeure dans le domaine des contes de fée.

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Mélusine, un conte féministe

Mélusine, une figure issue du folklore et de la littérature médiévale, est souvent interprétée de différentes manières. Certains aspects de l'histoire de Mélusine peuvent être considérés comme féministes dans la mesure où elle est présentée comme une femme forte, indépendante et dotée de pouvoirs extraordinaires. 

Voici quelques points qui peuvent être considérés comme féministes dans l'histoire de Mélusine :

  1. Indépendance : Mélusine est souvent représentée comme une femme indépendante qui prend des décisions importantes dans sa vie.

  2. Maîtrise de son destin : elle joue un rôle actif dans la construction de son propre destin, notamment en choisissant son mari et en établissant des règles pour préserver sa vie privée. Et en le quittant après sa découverte de son état mi-serpente mi femme...

  3. Compétences exceptionnelles : les pouvoirs magiques de Mélusine, bien que parfois associés à une malédiction, peuvent être interprétés comme une manifestation de sa force et de ses compétences exceptionnelles.

  4. Bâtisseuse : Mélusine est souvent associée à la construction de châteaux et d'édifices. Elle apporte une contribution significative à la société à travers ses compétences en architecture.

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