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Article: Poème pour Maman décédée

poeme pour maman decedee

Poème pour Maman décédée

Commémorer une maman qui nous a quittés... C'est un peu comme marcher sur un fil de souvenirs. D'un côté, il y a l'amour immense. Les rires partagés. Les petits moments ordinaires qui semblent tout à coup précieux. De l'autre, la douleur de l'absence. Ce vide qu'elle laisse. Si vaste qu'il devient presque tangible. C'est comme si elle était là, mais juste au coin d'une rue qu'on ne peut pas atteindre.

Une maman, c’est quoi au fond ?

Une maman, c’est cette chaleur qui nous entoure. Une présence douce, mais forte, qui nous soutient dans les tempêtes et les bonheurs. Elle est ce sourire qui apaise et cette voix qui réconforte. Qui pourrait remplacer une maman ? C’est presque une question de poète, un mystère de l’amour. Quand elle s’en va, c’est tout un univers qui s’effondre. Comment trouver les mots pour une absence si grande ? Essayons ensemble, tout en douceur, comme si elle nous écoutait encore.

L’absence, ce silence qui parle

Quand maman n’est plus là, chaque silence prend un poids nouveau. On entend presque sa voix dans le calme de la maison. Vous l’avez déjà ressenti ? Un parfum, un éclat de rire, un geste… tout devient souvenir. On se surprend à sourire en pensant à elle, puis, le cœur se serre. C’est comme une valse entre bonheur et nostalgie, une danse étrange où elle est à la fois près et loin.

Le poème, ce lien invisible

Écrire un poème pour sa maman, c’est poser sur le papier ce qui vibre en nous. Les mots peuvent-ils vraiment tout dire ? Non, mais ils savent esquisser les contours d’un amour immense. C’est comme dessiner un arc-en-ciel avec des crayons usés. Les couleurs ne sont pas toujours exactes, mais elles sont belles. Chaque mot devient un pont entre nous et elle, une main tendue vers l’invisible.

Quelques vers, un hommage sincère

Imaginez un poème simple, doux, sans fioritures. Juste des mots sincères, comme une conversation intime. Des vers pour dire : “Tu me manques, maman.” Rien de plus, rien de moins. Un poème pour rappeler les petits riens, ces éclats de vie qui semblent anodins mais qui, sans elle, deviennent essentiels.

"Toi, ma douce étoile qui veille de là-haut,
Tes rires en écho, comme un souffle chaud.
Au détour de mes rêves. Je te vois sourire,
Et même dans l'ombre. Tu sais m’éclairer d’un soupir."

Ce sont ces mots simples qui réchauffent le cœur. Des phrases qui disent ce qu’on n’ose souvent pas dire. Et parfois, écrire est une façon de parler tout bas, sans déranger l'absence.

Les souvenirs, ces trésors enfouis

Ce sont des trésors enfouis dans notre cœur. Ils remontent sans crier gare, ces moments précieux. Le rire d’un après-midi. L’odeur d’un gâteau. Le son de sa voix qui nous appelle. Ce sont comme des photos floues, un peu usées mais chères. Ils sont là, bien au chaud, et quand on les ressort, c’est comme si elle revenait pour un instant.

Un poème comme un murmure

Imaginez écrire un poème comme on chuchote un secret. On n’a pas besoin de grandes phrases, juste de quelques mots qui touchent. Pourquoi compliquer ce qui est simple ? Parfois, un simple “tu me manques” suffit. C’est comme un souffle doux qui vient de l’âme. Pas besoin de chercher la perfection, juste la sincérité.

Rire et pleurer, un doux mélange

Parfois, dans la tristesse, on trouve des petits bouts de tendresse, comme des rayons de soleil au milieu des nuages. Ce sont des rires entre deux larmes, comme un rayon de soleil après la pluie. Ce mélange doux-amer est un hommage vivant à sa présence.

Un hommage joyeux, pourquoi pas ?

On pourrait penser qu’un hommage doit être solennel, triste, mais… pourquoi pas un hommage joyeux ? Maman, elle aimait rire, elle aimait voir ses enfants heureux. N’est-ce pas aussi une façon de l’honorer ? Écrire un poème avec de la légèreté, avec le sourire. Car, au fond, elle aurait voulu qu’on garde la tête haute, le sourire aux lèvres, même quand elle n’est plus là.

"Maman, toi qui riais de tout,
Même des jours gris et doux,
J’entends encore ton éclat joyeux,
Comme un soleil, un peu radieux."

Le poème pour sa maman, un refuge

Un poème, c’est aussi un refuge. Vous avez déjà ressenti ce besoin d’écrire pour apaiser le cœur ? On y met tout, les chagrins et les sourires, les peines et les petits riens. C’est une façon de garder maman près de soi, de lui parler sans retenue, comme avant. Elle n’est plus là, mais dans chaque vers, on retrouve un peu de sa douceur.

Nos émotions, un tourbillon

Quand on pense à elle, c’est souvent un tourbillon d’émotions. Est-ce que ça vous arrive aussi ? La colère, la tristesse, la joie, l’amour… tout se mélange. C’est comme un arc-en-ciel après la pluie, un peu flou mais beau. Ce tourbillon, on le laisse couler sur le papier, sans chercher à le comprendre. Parce que maman, c’était ça aussi : un monde d’émotions pures.

Écrire pour elle, écrire pour soi

En fin de compte, écrire pour maman, c’est aussi écrire pour soi. Vous vous retrouvez là-dedans ? On laisse nos mots panser nos maux. On se raconte, on se libère. C’est une forme de thérapie douce, une façon de dire : “Je t’aime encore.” Elle vit à travers nos mots, nos pensées, nos souvenirs. Elle est là, quelque part, dans chaque lettre que l’on trace.

"Même loin, je te sens si près,
Comme une ombre, un doux reflet.
Maman, toi qui veilles en silence,
Dans mes mots, tu as ta présence."

Garder son sourire vivant

Écrire pour maman, c’est aussi garder vivant son sourire. Elle aurait aimé qu’on se rappelle d’elle ainsi, non ? Avec tendresse, sans tristesse pesante. Un hommage, oui, mais doux, comme elle. Parce qu’au fond, elle n’aurait pas voulu qu’on se noie dans la douleur. Elle aurait voulu qu’on garde le sourire, pour elle, pour nous.

En somme, écrire un poème pour maman, c’est offrir un bouquet de mots, un peu bancal, mais sincère. C’est lui dire qu’on ne l’oubliera jamais, que même absente, elle reste une présence douce et lumineuse dans nos vies.

Alors, prenez votre stylo, votre clavier, et laissez parler votre cœur. Maman l’entendra, j’en suis sûr.

Voici un poème en hommage à une maman décédée, exprimant le chagrin mais aussi la gratitude et l'amour éternel.

Le poème pour maman décédée


Au jardin de ma mémoire

Dans le jardin de ma mémoire,

Où fleurissent les souvenirs d'antan,

Chaque pétale évoque ton sourire,

Chaque arôme, ta douceur infinie.

Sous le voile du ciel gris,

Je sens encore ta main dans la mienne,

Guide tendre de mes jours incertains,

Phare lumineux dans mes nuits sombres.

La douleur de ton absence m'étreint,

Mais dans mon cœur, ton rire résonne,

Comme un écho lointain qui s'éternise,

Refusant le silence de l'oubli.

Ton amour est un héritage précieux,

Que je chéris plus que les étoiles,

Une lueur d'éternité dans l'éphémère,

Une caresse immortelle sur mon âme.

Oh maman, même voilée de l'au-delà,

Ton essence danse autour de moi,

Comme les feuilles bercées par le vent,

Rappelant que tu es ici, partout, toujours.


Ce poème vise à capturer la persistance des souvenirs et l'amour inaltérable, offrant du réconfort dans le souvenir de ceux qui nous sont chers.

Comment rendre hommage à sa maman décédée ?

Ce n'est pas un poème mais un texte bouleversant lus par les petits enfants d'une maman décédée tant aimée

Texte pour une maman décédée

Ce texte a été lu dans une église normande il y a dix ans. Pour Catherine qui était tant aimée par ses enfants et petits enfants.

"A Catherine 


Il y avait l’amour. L’amour fort, l’amour tendre, l’amour qui enveloppe, l’amour qui donne des ailes.
L’amour qui avait débuté dès la douceur de l’enfance avec Elisabeth, Claude et Denis et une joyeuse bande de cousins inséparables. L’amour qu’elle a du rendre très tôt, quand la perte de son petit frère l’a investie brutalement des devoirs de l’ainée.

L’inquiétude pour les siens ne l’a jamais quittée ; elle aimait ces mots : « Aimer, c’est craindre pour autrui, porter secours à sa faiblesse ».

L’amour dans sa famille, bien sûr. Et d’abord avec Henri, le socle de sa vie, un amour de presque soixante ans, un amour doux et fort, inébranlable, qui reposait sur une admiration mutuelle que le temps n’a jamais entamé, jusqu’au bout de la vie, jusqu'à lui faire oublier ses souffrances pour partager celles de son mari. Cet amour a fondé la plus belle des familles, une famille complice dont elle aimait, voulait et créait l’harmonie.

L’amour enfin qu’elle a partagé dans les familles successives dont elle se faisait la mère. Sa famille de la Fondation, elle faisait partie des cinq premiers bénévoles à l’hôpital : apporter de l’âme au coeur de la souffrance. Sa famille du village, si nombreuse à l’accompagner aujourd’hui.
Il y avait les mots. Les mots des livres qu’elle dévorait avec passion. Les mots doux qu’elle aimait écrire. Les mots justes qu’elle posait, son jugement était sur et fiable. Les mots gais qu’elle aimait transmettre à travers ses chansons, ses contes et ses discours. Les mots des autres dont elle aimait se rappeler.

Il y avait la grâce. La grâce qui éclaire la vie sans même qu’on la mérite. La grâce d’une femme d’hier et d’aujourd’hui, la grâce de la femme épouse, de la femme mère et de la femme confidente.
L’élégance et le raffinement de la féminité, l’intelligence et la tendresse de la maternité, l’énergie et l’ambition de la modernité, la gaieté et l’humour de l’amitié.

Il y avait la chose publique. Un respect fort des institutions, une idée du patriotisme, de la décence et de la morale, hérités de sa famille et de son éducation à Sainte-Marie. Il y a eu ses engagements à l’hôpital mais surtout auprès de la mairie, où il lui a été permis de beaucoup donner.

Au village comme ailleurs, elle s’appliquait le mot du philosophe : « Chacun est responsable de tout, de tous, et pour tous, et moi plus que les autres ». 

Le village  était la réussite de sa vie et lui a valu une décoration de la République, et votre reconnaissance, aujourd’hui.

Il y avait l’exigence. L’exigence pour elle-même, la tendresse pour les autres, et pour les siens, les deux. Quand elle recevait des coups, elle ne voulait pas répondre; pour elle, il fallait ne rien dire, surtout ne rien dire mais essayer de comprendre.

Elle avait de la force de caractère et la force de son caractère.

Elle était sans cesse toute entière tendue vers l’effort ; même dans ses moments
les plus fragiles, elle est restée droite et ouverte à l’autre.

Il y avait le courage. Sa force à toute épreuve, elle la tirait de sa dignité et de sa pudeur. Elle était dure au mal quand c’était le sien et sensible à celui des autres. Elle n’en parlait pas, on ne parle pas de soi, alors que depuis quinze ans elle avait du affronter la maladie.

Le mal se combat ou se supporte, il ne se partage pas.

Elle ne nous quitte pas. A force d’amour et de douceur, elle nous a fait ce que nous sommes, au moins quand nous essayons d’en être dignes.
D’elle qui nous donnait tant sans le rappeler, nous devons nous souvenir, qui avons beaucoup reçu.

Nous souvenir de la valeur du don et de l’exemple."

Poème court et touchant pour maman

Maman en acrostiche

Poème émouvant sur la mort d'un proche : Hommage et souvenirs

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