Les aventures de la sorcière rousse

Il était une fois, dans une sombre forêt cachée au cœur de Paris, une sorcière redoutable du nom de Krabouboukrababa.

Chaque nuit, elle ourdissait de terribles machinations pour attraper des enfants et les emprisonner dans son antre sombre. 
Personne ne savait pourquoi...peut-être pour en faire ses propres enfants, ou plutôt ses apprentis sorciers...

Mais malgré toute sa magie noire, ses stratagèmes diaboliques étaient systématiquement contrecarrés par l'ingéniosité des enfants.

Krabouboukrababa la sorcière rousse

La sorcière rousse, nommée Krabouboukrababa, était une figure redoutable et mystérieuse dans les contrées sombres où elle résidait. Elle avait des cheveux flamboyants qui semblaient brûler comme des flammes dans la nuit, contrastant avec sa peau pâle comme la lune. Ses yeux étaient d'un vert éclatant, perçants comme des émeraudes, capables de transpercer l'âme de quiconque osait croiser son regard.

Vêtue de robes sombres et ornées de motifs étranges, elle se déplaçait silencieusement à travers les bois ou les rues, sa présence suscitant la peur et la méfiance chez ceux qui avaient le malheur de la croiser.

Elle était accompagnée d'un familier corbeau noir, dont le croassement lugubre annonçait souvent son arrivée imminente.

La sorcière rousse était rusée et impitoyable dans sa quête pour attraper des enfants. Elle usait de nombreux stratagèmes et pièges sournois pour les capturer et les emmener dans son antre obscure.

Ses actions ne laissaient aucun doute sur sa malveillance, et les enfants savaient qu'ils devaient rester vigilants face à cette redoutable adversaire.

Il y avait quelque chose de tragique dans le regard de la sorcière rousse, une lueur de solitude et de désespoir qui trahissait sa propre histoire tourmentée.

Mais malgré ses efforts, elle était constamment contrecarrée par l'ingéniosité et le courage des enfants, qui se montraient toujours un pas en avance sur elle.

Les personnages

Judith était une fillette de sept ans aux boucles brunes et aux yeux pétillants. Elle était toujours pleine d'énergie et d'audace, prête à relever n'importe quel défi. C'était elle qui, avec son esprit vif et sa méfiance naturelle, avait souvent sauvé son frère, sa soeur et son cousin des pièges de la sorcière.

Joseph était un petit garçon de cinq ans, courageux et débrouillard. Avec ses cheveux blonds bouclés et ébouriffés et son sourire malicieux, il était toujours prêt à aider ses sœurs et son cousin à trouver une solution à leurs problèmes. Bagarreur, il s'entrainait pour devenir un super héros.

Elvire était la benjamine de la famille, une petite fille espiègle d'un an aux joues roses et aux grands yeux curieux. Elle était souvent portée par son frère ou sa soeur lors de leurs aventures, mais sa présence était une source de réconfort et de joie pour toute la famille.

Henri était le plus jeune de tous, un bébé de six mois avec de jolis yeux en amande et un rire contagieux. Même s'il était encore trop petit pour parler, sa présence apportait de la lumière et de l'espoir à ses cousins pendant leurs aventures.

Avec leur courage, leur ingéniosité et leur amour, Judith, Joseph, Elvire et Henri surmontent tous les obstacles qui se dressaient sur leur chemin, prêts à affronter l'avenir avec confiance et détermination...

La première apparition de Krabouboukrababa à Paris

Alors que Judith et Joseph jouaient joyeusement dans la chambre de ce dernier, la porte fermée pour ne pas être dérangés, Mouni, leur grand-mère, venait de partir après avoir partagé un goûter délicieux avec eux. Soudain, un léger frappement résonna à leur porte.

"Mouni ?" demanda Judith, se dirigeant vers la porte.

"Oui," répondit une petite voix de l'autre côté.

Sans se douter du danger qui les guettait, Judith ouvrit la porte, révélant une muraille de coussins blancs qui s'élevait du sol à la porte, bloquant toute sortie possible. Avant qu'ils ne puissent comprendre ce qui se passait, la sorcière surgit de l'obscurité, ses cheveux roux flottant autour d'elle comme des flammes dans la nuit.

Un combat épique s'ensuivit, une bataille entre l'innocence des enfants et la malice de la sorcière. Krabouboukrababa tentait de les attraper avec ses mains crochues, mais les enfants étaient rapides et agiles, esquivant habilement ses attaques. Ils se lancèrent alors dans une série de chatouilles sans fin, faisant rire la sorcière et la distrayant de ses sinistres desseins.

Malgré les rires et les éclats de joie, les enfants savaient que c'était une bataille pour leur liberté et leur sécurité. Ils puisaient leur courage dans leur amour l'un pour l'autre et dans leur détermination à ne pas se laisser vaincre par le mal. Finalement, après une lutte acharnée, les enfants parvinrent à venir à bout de la sorcière, la forçant à battre en retraite dans l'obscurité d'où elle était venue.

Essoufflés mais triomphants, Judith et Joseph se serrèrent dans les bras l'un de l'autre, reconnaissants d'avoir vaincu le mal qui avait tenté de les séparer. Et tandis que les coussins retombaient au sol, laissant la lumière du soleil inonder à nouveau la pièce, ils savaient que leur affection et leur courage les protégeraient toujours des ténèbres qui menaçaient de les engloutir.

Les étapes  et les combats

La deuxième  fois que Krabouboukrababa tenta de capturer des enfants, elle les attira avec des bonbons magiques qu'elle avait dispersés dans les rues animées de Beaubourg.

Judith, Joseph et Elvire furent presque séduits par la douceur des sucreries, mais la méfiance de Judith leur sauva la vie.

"Attention ! C'est un piège !" s'écria Judith, tirant son frère, sa sœur et son cousin en arrière juste à temps pour éviter les bonbons ensorcelés.

"Je vous assure que c'est un piège !" cria-t-elle de nouveau, et ils s'enfuirent juste avant que les bonbons ne se transforment en chaînes ensorcelées.

Plus tard, alors que les enfants se promenaient près de la Seine, Krabouboukrababa tenta de les capturer en les attirant dans un bateau enchanté. "Montez à bord, petits enfants, et je vous emmènerai vers un monde merveilleux", murmura-t-elle d'une voix suave. Mais Joseph, qui avait entendu parler de la ruse des sirènes, réalisa le danger .

Henri et Elvire retenaient leurs larmes...

"Je ne crois pas que nous devrions monter dans ce bateau. Les sirènes peuvent être très trompeuses, nous ne pourrons plus jamais revenir à la maison", expliqua Joseph avec prudence, alors que Krabouboukrababa tentait de les attirer à bord. 

Joseph concocta un contre-sortilège, il avait appris une formule magique et il se souvenait des rimes. "Krabouboukrababa, retire toi ou tu deviendras un bout de bois!" 

Les enfants naviguèrent alors vers la sécurité, laissant la sorcière furieuse et tremblante sur le rivage, devenue une grosse bûche.  

La troisième tentative de Krabouboukrababa eut lieu dans les catacombes sombres et labyrinthiques de Paris. La sorcière avait retrouvé sa force initialme à l'aide de son corbeau. Alors que les enfants faisaient une visite amusante erraient dans les tunnels tortueux, la sorcière apparut soudain devant eux, entourée d'une aura maléfique.

"Non, ne pleure pas, Elvire. Nous allons trouver un moyen de sortir d'ici", chuchota Joseph doucement, serrant sa petite sœur dans ses bras alors qu'ils ne savaient plus sortir des tunnels sombres des catacombes parisiennes.

"Vous êtes coincés maintenant, mes petits", grinça-t-elle d'un air triomphant. Mais Judith, qui avait toujours été douée pour les énigmes, depuis qu'ils avaient fait un Escape Game de Tom-Tom et Nana déchiffra rapidement un message codé inscrit sur un mur de pierre, révélant un passage secret.

"suorces ed eitsros"...ça veut dire sortie de secours, s'écria Judith!

Les enfants s'échappèrent habilement par la porte, laissant Krabouboukrababa seule dans l'obscurité.

Depuis, un mois, la sorcière rousse avait disparu...

Enfin, alors que Krabouboukrababa pensait avoir trouvé la cachette parfaite dans la forêt mystérieuse du Cap, elle les confronta à une nouvelle épreuve.

Alors que Judith, Joseph, Elvire et Henri s'aventuraient plus profondément dans la jolie forêt, à la recherche des oeufs, lors de leurs vacances de Pâques, ils furent soudainement confrontés à un obstacle inattendu : une horde de tortues géantes qui bloquait leur chemin.

Les enfants s'arrêtèrent, incertains de la façon de procéder.

Judith et Joseph se demandaient comment être aidés par leurs tortues si fidèles, Clarinette, Zack, Grosse Mémère , Planète et Loulou...Mais avant qu'ils ne puissent prendre une décision, les tortues se mirent à parler d'une voix grave et lente.

"Qui ose perturber notre forêt ?" gronda le chef des tortues, une immense créature dont la carapace était ornée de motifs complexes.

Judith, prenant son courage à deux mains, s'avança et expliqua rapidement leur situation. "Nous sommes des enfants perdus , nous avons quatre tortues amies ainsi que 4 bébés tortues, comment peux-tu nous menacer? Nous avons peur d'être pris dans les pièges d'une sorcière maléfique qui nous poursuit. Pouvez-vous nous aider ?"

Les tortues se consultèrent entre elles, puis le chef inclina lentement la tête. "Nous vous aiderons, enfants courageux. Nous étions des amis de Zack et Clarinette.Nous avons été transformés avec une horrible sorcière qui nous a fait grandir en fabriquant une potion magique. Elle a fait de nous ses esclaves pour venir vous capturer. Mais d'abord, vous devez nous prouver votre valeur en nous affrontant dans un combat. Si vous gagnez, nous vous montrerons le chemin sûr à travers la forêt."

Sans hésiter, Judith, Joseph, Elvire et Henri acceptèrent le défi. Les tortues se mirent en formation, leurs carapaces resplendissant sous le soleil filtrant à travers les arbres.

 Elvire et Henri leur offrirent des pissenlits car ils savaient combien les tortues les aimaient.  Ils voulaient leur montrer qu'ils étaient leurs amis.

Le combat fut épique. Judith et Joseph utilisèrent leur agilité pour esquiver les attaques des tortues, pendant que Elvire et Henri criaient des encouragements depuis les bras de Mouni et Billom. Finalement, après une bataille féroce, les enfants parvinrent à repousser les tortues, les contraignant à battre en retraite.

Impressionnées par le courage et la détermination des enfants, les tortues les félicitèrent et leur indiquèrent le chemin à suivre à travers la forêt.

"Ta Maman et ton papa vont être si fiers de nous quand nous rentrerons à la maison, n'est-ce pas, Henri ?" murmura Judith avec tendresse, en berçant doucement leur petit cousin franco portugais dans ses bras alors qu'ils s'aventuraient pour retrouver leur chemin.

Avec un sentiment de gratitude et de soulagement, Judith, Joseph, Elvire et Henri reprirent leur voyage, sachant qu'ils avaient désormais de puissants alliés dans leur quête pour échapper à Krabouboukrababa.

Les enfants avaient déjoué le sort, et les tortues reprirent leurs formes initiales.

Les enfants, guidés par leur courage et leur esprit d'équipe, découvrirent d'autres dangers cachés de la forêt et déjouèrent les sortilèges de la sorcière à chaque tournant. Joseph avait emporté une épée.

"Nous ne serons jamais vos prisonniers, Krabouboukrababa !" s'exclama Joseph avec détermination, et les enfants poursuivirent leur chemin vers la liberté.

Malgré tous ses efforts et ses ruses, Krabouboukrababa fut une fois de plus vaincue par la détermination et l'intelligence des enfants.

Elle rentra dans sa forêt obscure, maudissant leur nom à jamais, tandis que Judith, Joseph, Elvire et Henri pourraient continuer leur voyage avec audace et courage, prêts à affronter tous les dangers qui se dressaient sur leur chemin...

Mais avant toute chose, ils revinrent vers la maison retrouver leurs parents et leurs grands parents pour un bon goûter à la piscine.

Au mois de septembre, ils avaient quitté le sud pour la campagne...Ils arrivèrent dans la maison aux fleurs et partirent directement jouer dans le jardin.

A un moment, ils entendirent un bruit...un grincement de porte étrange qui venait de la petite maison abandonnée...grrr...c'était terrifiant...

Mais, ils s'approchèrent ...Joseph s'écria..."mais qu'est ce que ce bruit? "

Judith dit "quelqu'un s'est installé dans la petite maison, allons voir de plus près"...Ils virent une ombre noire, très sombre et glaçante. Mais Joseph, prenant son courage à deux mains, dit en bredouillant..."mais, mais...qu'est ce que qu'est ce que...qui est-ce? "

Alors, une voix grave et sombre dit "je suis une vieille dame, je n'avais pas d'abri, venez me voir, je suis aveugle, venez m'aider...j'ai des galettes pour vous"

Alors, on vit un oiseau terrifiant, sombre, sur sa tête...Judith s'écria..."un corbeau!"

Le corbeau dit..."attaque, attaque, attaque"

Joseph s'écria..."c'est sûr, c'est Krabouboukrababa!"

Elvire dit "donne, donne, pas touche, à frère et soeur"

Henri dit "guegue"

Alors, Papa appela les enfants pour le déjeuner...

Les enfants n'avaient pas commencé le combat. Ils dirent à leur papa "nous avons vu une limace, elle est morte, nous devons la soigner."

Mais, bien sûr, c'était un mensonge.

Les enfants ne voulaient pas faire peur à leurs parents. Leur papa dit "je viens voir la limace, peut être pourrons nous l'emmener chez le vétérinaire?"

Les enfants "non, ne t'inquiète pas, on va déjeuner". 

D'abord, ils mirent beaucoup de bois devant la cabane, pour faire un barrage. Ensuite, ils remplissaient la serrure de glue. La sorcière tambourinait à la porte et disait "ouvre-moi, ou je vous trnsforme en rats" 

Ils partirent en courant, en arrivant, leur maman dit "qui tambourine là-bas?"

"On a essayé de faire une machine pour faire de  la musique" dit Judith en racontant quelque chose qui n'était pas vrai...

Une heure, plus tard, ils allèrent voir la cabane...Krabouboukrababa avait disparu...Ses vêtements posés au sol...elle s'était enfuie par la rivière...

Alors, les enfants se faufilèrent de l'autre côté du jardin...Ils virent un rat qui les regardait d'un air bizarre...Sans doute, un enfant du village transformé ...

Derrière le rat, il y avait une hutte avec des couleurs épatantes...un parfum délicieux s'en échappait ...Joseph s'approcha de plus en plus..il toqua à la porte. Une voix étrange répondit..."Qui est-ce à la porte? Des petits enfants qui veulent devenir des serpents tout tremblants?"

Jospeh dit..."encore toi, Kraboubou? laisse-nous entrer, nous voulons délivrer tous les enfants prisonniers!"

Krabouboukrababa dit "justement je voulais vous ouvrir, attendez...elle prit la clé, la lança par la fenëtre...ils sautent sur la clé et l'apportent à leurs parents...pour qu'ils préviennent la police.

La police l'emprisonna et les enfants fabriquèrent des petits pains au lait pour fêter son emprisonnement!

Un an plus tard, On entendit parler de nouveau de Krabouboukrababa.

Comment sortit-elle de prison, personne ne le sut jamais...

Mouni, Billom, Doudou et Diana allaient au Maroc avec les quatre enfants.

En sortant de l'éaroport, les enfants voulurent monter avec les bagages dans une cariole. Soudain, la cariole accélère...Ils virent qu'elle était tirée par une vieille femme...inch'allah, avec un vieux manteau noir...Les bébés pleuraient, criaient...au secours...Judith et Joseph étaient médusés...comment était il possible que Krabouboukrababa réapparaisse ainsi?

Le long de la plage, ils dépassèrent, les chameaux, les surfs...un kite surf cria...mais c'est qui cette folle qui court sur la plage...ils ont l'air de s'amuser les enfants...alors qu'en vrai, ils étaient effrayés...

Au bout de la plage, il y avait un vieux château abandonné...Entrez là...une énorme porte à battants et à grosse serrure se referma sur les enfants...

Krabouboukrababa les attendait avec une potion magique...les enfants s'endormirent immédiatement. A leur réveil, ils entendirent un cri. En regardant par la fenêtre ils virent la sorcière encerclée par des chenilles. Elle les attrapa et décida d'ajouter un ingrédient spécial à sa collection : des chenilles processionnaires, velues, et grasses. Ces petites créatures, bien qu'adorables à regarder avec leur allure de petit train, étaient redoutées pour leurs poils urticants.

Tandis qu'elle les ramassait délicatement avec ses gants de sorcière, un frisson de curiosité la poussa à toucher l'une d'elles à mains nues. À peine avait-elle effleuré la chenille qu'une démangeaison insupportable s'empara de ses mains. Dans sa précipitation, elle renversa son sac, laissant s'échapper toutes les chenilles qui rampèrent dans toutes les directions.

À proximité, le groupe d'enfants éclatait de rire. En voyant la sorcière se gratter frénétiquement, ils poussèrent des cris de joie et s'enfuirent en courant vers le village. Ils racontèrent à leurs parents la scène étrange qu'ils avaient observée, et tous décidèrent qu'il était temps de retourner à la vie urbaine, loin des mystères et dangers du château marocain. Ils firent leurs bagages et partirent pour Paris où la vie suivit son cours, entre école et jeux.

Le 25 avril, une grande excitation régnait parmi les enfants. Ils allaient jouer dans un concert. Les parents, amis et voisins étaient tous invités à assister à cette soirée spéciale. Les enfants avaient répété pendant des semaines et attendaient ce moment avec impatience.

Mais alors que les premières notes de musique s'élevaient dans l'air, une silhouette familière apparut à l'accueil. Krabouboukrababa, la sorcière rousse, avait suivi les enfants à Paris, mue par un mélange de curiosité et de désir de rédemption. Elle avait trouvé un billet par terre et avait décidé d'assister au concert.

À mi-chemin du spectacle, alors que le solo de Judith captivait l'audience, Krabouboukrababa, incapable de résister à son penchant pour les sorts, commença à marmonner une incantation. Elle voulait montrer qu'elle pouvait encore être une partie du village, même à Paris. Mais au lieu de cela, sa magie se retourna contre elle, faisant danser les musiciens hors de contrôle, leurs instruments s'animant d'une vie propre.

La panique s'empara de la salle avant que Monsieur Hattu le directeur de l'école, suspectant quelque chose, ne monte sur scène avec un vieux grimoire. Il lut à haute voix une formule qui neutralisa le sort de la sorcière. La musique reprit doucement, les enfants retrouvèrent leur rythme, et la soirée se termina en beauté.

Krabouboubaba, réalisant l'effet de ses actions, s'excusa auprès de tous. Les enfants, voyant sa sincérité et son désarroi, lui proposèrent de l'enseigner à utiliser sa magie pour le bien. Elle accepta avec gratitude, heureuse de pouvoir enfin connecter avec ceux qu'elle avait effrayés.

Ainsi, la sorcière rousse devint une amie et une alliée, apprenant chaque jour à utiliser ses pouvoirs pour apporter joie et harmonie autour d'elle, (des bonbons, des glaces un peu de chocolat aussi) et les concerts de l'école devinrent légendaires, souvent agrémentés d'une touche magique que seule Krabouboukrababa pouvait offrir.

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