
Mycose et chakra : quand le corps nous parle autrement
Vous avez une mycose qui revient ? Encore ? Toujours au mauvais moment ?
Et si ce n'était pas juste une question d'hygiène ou de crème ?
Parce que oui, parfois, le corps glisse des petits messages... Et il faut tendre l'oreille (ou le nombril).
Mycose intime, mycose pied… même combat ?
On ne va pas tourner autour du pot. Une mycose, c’est gênant. Ça gratte, ça brûle, ça revient comme un mauvais refrain.
Et peu importe où elle s’installe : bouche, pieds, partie intime… Elle s’invite sans prévenir.
Mais dans tous les cas, c’est un déséquilibre. Un petit chaos interne. Un champignon (Candida) qui profite d’un affaiblissement pour faire sa fête.
Et le chakra là-dedans ?
Là, on change de lunettes. On parle énergie, pas médecine classique.
Le corps, en énergétique, c’est un peu comme un jardin. Des centres vibratoires (les chakras) distribuent l’énergie. Quand un chakra est bouché ou épuisé… la plante (ou l’organe) souffre.
Chakra racine : le suspect numéro un
La majorité des mycoses sont liées au chakra racine. Celui qui se trouve à la base de la colonne.
- Il parle de sécurité
- D’ancrage
- De territoire
- De rapport au corps
Une mycose intime récurrente ? Peut-être un chakra racine qui crie au secours.
Peut-être que vous vous sentez en insécurité. Ou que vous avez du mal à poser vos limites. À vous sentir “chez vous” dans votre propre peau.
Chakra sacré : émotions et sexualité
Juste au-dessus du racine, il y a le chakra sacré. Celui des émotions, du plaisir, de la fluidité.
Une mycose après un rapport ? Ou à chaque moment où vous ressentez du stress, de la honte, une tension intérieure ?
Ce chakra pourrait être trop chargé. Ou complètement vidé.
Le corps parle quand l’âme se tait
Oui, c’est un peu poétique dit comme ça. Mais souvent, c’est ça.
Le corps hurle quand on n’écoute pas ses émotions. Quand on met un couvercle sur la colère, la fatigue, la tristesse.
Et une mycose, c’est parfois un signal rouge. Une sonnette. Un petit "hé, je ne vais pas bien là dedans".
Pourquoi ça revient toujours ?
Crèmes, ovules, huiles essentielles... Vous avez tout testé ?
Mais rien n’y fait. Ou ça revient après quelques semaines.
Parce qu’on traite le symptôme. Pas la source.
Et parfois, la source est énergétique. Ou émotionnelle.
Et si on rééquilibrait les chakras ?
Pas besoin de devenir moine tibétain. Mais quelques gestes simples peuvent déjà changer la donne.
- Marcher pieds nus, souvent
- Méditer en pensant à la couleur rouge (chakra racine)
- Manger des aliments rouges, racinaires (betterave, carottes, patates douces)
- Écrire ce que vous ressentez (sans filtre)
- Se masser le bas-ventre avec une huile chaude
- Faire du yoga doux (postures d’ancrage)
Mycose vaginale et culpabilité ?
On va oser en parler. Sans gêne.
Beaucoup de femmes ressentent de la honte. Ou de la culpabilité. Par rapport à leur sexualité, leur plaisir, leur désir.
Et cette culpabilité peut se loger... dans le corps. Comme une tension. Comme un blocage.
Et le corps, dans son langage bien à lui, déclenche une mycose. Comme pour dire “il y a trop de pression ici”.
Et chez les hommes ?
Oui, eux aussi peuvent avoir des mycoses. Et les mêmes zones énergétiques sont en jeu.
Le chakra racine, encore lui, lié à l’identité, à la masculinité, à la sécurité.
Un homme stressé, en perte de repères, peut déclencher ce type de déséquilibre.
Les émotions coincées : des bombes silencieuses
Vous avez déjà eu envie de pleurer sans savoir pourquoi ?
Ou cette sensation de colère froide qui reste là, dans le ventre ?
Ces émotions, si on ne les libère pas, cherchent une porte de sortie. Et parfois, elles sortent... par la peau, les muqueuses, le corps.
Mycose et pardon
C’est inattendu, mais oui. Parfois, la guérison commence par le pardon.
Se pardonner à soi-même. Pardonner à un ex. À une situation mal digérée. À une colère trop longtemps gardée.
Le corps aime la paix intérieure. Et quand on la cultive... les symptômes s’en vont parfois tout seuls.
Et concrètement, on fait quoi ?
Voici quelques idées douces pour accompagner un traitement médical :
- Faire un bain de siège au bicarbonate (calme les démangeaisons)
- Boire des tisanes de thym ou de calendula
- Mettre de l’argile verte sur le bas-ventre (effet drainant)
- Visualiser une lumière rouge qui tourne à la base du dos
- Respirer profondément en imaginant que l’énergie descend
Parler à son corps, vraiment
C’est fou, mais ça fonctionne.
Parlez à votre corps. Avec amour. Avec patience. Dites-lui “merci” de vous alerter. Demandez-lui ce dont il a besoin.
Et parfois, la réponse viendra. Comme un chuchotement intérieur.
Quelle est l'astuce miracle contre les mycoses ?
Il n’y a pas de baguette magique. Mais un combo gagnant :
- Limiter les sucres (les champignons adorent ça)
- Renforcer sa flore intestinale avec des probiotiques
- Rééquilibrer ses émotions en douceur
- Soigner localement avec des solutions naturelles et douces
- Respirer, s’ancrer, ralentir
Ce n’est pas une solution rapide. Mais c’est souvent la bonne sur le long terme.
Pourquoi suis-je sujette aux mycoses ?
Parce que le terrain interne est fragile. C’est comme un jardin : quand la terre est déséquilibrée, les mauvaises herbes poussent.
Ça peut venir
- Du stress chronique
- D’un système immunitaire fatigué
- D’un déséquilibre hormonal
- D’émotions enfouies
- Ou d’un mode de vie trop rapide
Votre corps dit : “Ralentis. Nourris-moi mieux. Écoute-toi.”
Comment ne plus jamais avoir de mycose ?
Le rêve, hein ? C’est possible, mais ça demande un vrai changement.
- Adopter une alimentation plus vivante et moins sucrée
- Limiter les agressions chimiques (lessives, gels intimes)
- Éviter le stress chronique
- Se reconnecter à son corps avec bienveillance
- Travailler en profondeur sur ses émotions bloquées
C’est un voyage. Mais un beau voyage.
Pourquoi ai-je des mycoses à répétition ?
Parce que le message n’a pas été entendu.
Le corps répète jusqu’à ce qu’on l’écoute vraiment. Chaque récidive est un rappel doux (ou pas) : "Il reste quelque chose à régler".
Ce n’est ni votre faute, ni une fatalité. C’est un appel. À changer. À respirer. À prendre soin de vous, profondément.
Et ça, c’est une belle opportunité.
Une approche globale, tout en douceur
Non, on ne soigne pas une mycose par la pensée magique.
Mais on peut accompagner la guérison. Mettre de la conscience. De l’amour. De la douceur.
Parce que le corps et l’âme ne sont pas séparés. Ils dansent ensemble. Et parfois, ils crient ensemble aussi.
Alors écoutez. Respirez. Et faites la paix avec vous-même.
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